martes, 22 de enero de 2008

LE MANAGEMENT A LA MEXICAINE:

Par Olivier Soumah-Mis Directeur de l’édition de México DF et de Monterrey du www.lepetitjournal.com, et spécialiste du management interculturel.

Nous allons commencer notre série intitulée « comment travailler avec les mexicains ? » par le management.

Bien que les mexicains subissent une influence très forte de leur voisin Etats-unien, le management de ce côté ci du Rio grande reste très imbibé par la culture locale, mexicaine.

Le management dans les entreprises mexicaines est souvent de type paternaliste, le chef, le patron est le bon père, il est à la fois craint et respecté. Sous des apparences souvent informelles et de proximité, le chef connaît bien ses subordonnés, le management est de type autoritaire. Il est très difficile pour un subordonné de contre dire ce que dit le chef, celui-ci à le pouvoir absolu il est donc dangereux pour sa carrière de ne pas être d’accord. La grande majorité des entreprises mexicaines sont familiales, même les grands groupes mexicains internationaux.

Par contre ce qui caractérise les relations au sein de l’équipe c’est la convivialité, malgré une importante hiérarchie, il a très peu de formalisme dans les relations. Les entreprises mexicaines ayant évoluées longtemps dans un environnement incertain sur tous les plans, politique, économique et financier, les entreprises mexicaines font preuves d’une très grande adaptation aux changements du marché ou aux changements internes. La flexibilité est l’autre caractéristique des entreprises mexicaines.

Là ou dans les pays anglo-saxons la base de la relation d’affaire est le respect de sa signature en bas du contrat, ici au Mexique la base de la relation d’affaire est la confiance personnelle que votre partenaire mexicain estime qu’il peut vous accorder. C’est pour cela qu’il faut savoir prendre son temps afin de connaître son partenaire. Savoir parler de tout et de rien et apprendre à se connaître personnellement est gagner du temps par la suite. Au Mexique on fait des affaires entre amis, et les amis de mes amis, sont mes amis. C’est pour cela que si vous avez le meilleur produit ou service du monde mais pas de relations, alors il vous sera très difficile de faire des affaires ici.

Ne considérer pas un comportement, de la part de votre partenaire, trop personnalisé comme une perte de temps, comprenez que vous êtes déjà dans le processus de négociation, le plus important est de maintenir la relation. Au Mexique il n’y a pas, comme en France, de cloison entre la vie privée et la vie professionnelle.

Avec ses subordonnés : il est important de prendre le temps de bien connaître ses subordonnés et leur environnement familial ainsi que de maintenir avec eux une relation de qualité d’un point de vue humain, tout en étant conscient que vous êtes l’autorité. Un point important, votre autorité ne vous donne pas le droit de réprimander un de vos subordonnés, qui aurait fait une faute, devant les autres membres de l’équipe. Cela est considéré comme de l’humiliation publique, très mal vécu par les mexicains.

Avec vos partenaires : la relation ira souvent au de là de la relation d’affaire, ne le prenez pas pour de la corruption, ça n’en est pas, c’est une des règles de base, la confiance.

sábado, 12 de enero de 2008

Who are the new expatriates?

Multinational companies are sending more and more employees abroad: in the interests of international development of course, but also to prepare their managers for positions of responsibility.
The effects of September 11th on international mobility were short-lived. The caution exercised by the big multinationals in the wave of extreme security-consciousness that followed has gradually eased and international missions are once again going ahead. The latest bi-annual review on the subject by ECA International, an organisation dedicated to expatriation professionals, confirms this. More than 70% of the companies questioned had “initiated more long-term postings abroad over the last two years and more than two thirds of them plan increases in the years to come,” according to the study. This boom can obviously be explained by the globalisation of business and by the increase in relocation. But if mobility is on the up, the forms it takes are changing. “With the opening up of the Chinese, Indian, Russian, Eastern Europe and South-east Asian markets, the big European and American companies have been encouraged to open a large number of sales offices, branches, subsidiaries and production units abroad,” says Frédéric Franchi, the organisation’s spokesman. It is a trend that is changing the nature of expatriation. “Ten years ago, companies cited skills and technical knowledge transfers as the main reason their employees were posted abroad. Today, on account of the new direction their development is taking, it is the need to control local operations that predominates,” explains Frédéric Franchi.Expatriation is no longer the preserve of western companies. Many Asian or Middle Eastern companies are also stepping onto the international stage. ECA’s study states, moreover, that “the boom in expatriation is mainly expected in Asia, which now rivals Europe and the United States as the main region to expatriate employees and also to receive expatriate employees”. It is no longer the preserve of western employees either. Most of the human resources Departments of the multinationals are now managing expatriates of different nationalities.“Companies have opened up so completely to the world that it is not rare for them to have expatriates of 20 to 25 different nationalities,” says Frédéric Franchi.
More women on the moveInternational mobility also involves an increasing number of women. Although women represented only 6% of expatriates in 1996, 20% of them now undertake missions abroad. Over and above increased general awareness of the need to give women a more important role in society, various factors may also explain this significant trend. Firstly, the opening up of expatriation to new business sectors. Although it traditionally concerned mainly industry, services are no longer left on the sidelines. And in addition, engineering schools, which provide a high proportion of expatriate staff, now also have a higher percentage of women. Lastly, expatriation is now considered in most of the big companies to be an indispensable stage in the development of a career. “More and more companies insist their executives experience expatriation,” says Frédéric Franchi. If they wish to offer certain women the chance to occupy posts of responsibility they must also be prepared to expatriate them.Be that as it may, curbs on the expatriation of women remain, mainly because of their role within the family. It is, moreover, partly to solve this problem that companies are increasingly developing “international commuting,” an attenuated form of expatriation. On the other hand, the ECA study also reveals the weaknesses of companies in the expatriation process. 75% of them do not assess non-technical criteria such as the ability to learn a foreign language, for example, in their recruitment process, and only 10% of them take account of the spouse. Yet as ECA reminds us, problems family problems figure amongst the principal factors mentioned when expatriation fails.

Les français à l’étranger (Part2)

Par Olivier Soumah-Mis

Pour faire suite à la première partie où je m’étais essayé de mettre en avant nos défauts par rapport à un contexte international, une expatriation, voici la deuxième partie ou nous verrons nos qualités.

Une grande qualité que nous avons et qui est très importante et utile à l’international, c’est notre fameux système « D », la débrouillardise nous permet de nous sortir de situations délicates, compliquées. De plus, notre sens pratique nous permet de nager en « eaux troubles », toute fois il est important de ne pas confondre rigueur avec rigidité, ce qui peut nous arriver certaines fois.

Un autre point fort est la qualité de nos relations. Il est certes très difficile de pénétrer ce cercle privé des français, cela prend beaucoup de temps en générale, mais lorsque la personne y parvient alors elle devient un ami, un membre de la famille. Si je compare avec nos amis mexicains, ils fonctionnent à l’inverse, au Mexique vous allez être intégré immédiatement et chaleureusement au sein de la famille, d’un groupe d’amis, mais peut être qu’à la longue vous vous apercevrez que la relation restera plus superficielle.

Ce qui peut séduire nos hôtes, c’est notre grand intérêt pour l’histoire et la culture du pays dans lequel nous sommes. Pas question d’aller à Cancun sans aller voir des sites archéologiques Mayas, de s’informer sur ces cultures avant d’y aller afin d’essayé de les comprendre et d’imaginer ce qu’elles étaient au temps de leur splendeur.

Le français, comme d’autres est paradoxale, nous sommes réputés pour notre arrogance mais dans le même temps nous serons très sensible à la détresse des personnes dans certaines situations, comme les catastrophes naturelles ou tout simplement face à la pauvreté, nous faisons toujours parti de ceux qui donnent le plus aux organisations non gouvernementales (ONG) pour les soutenir dans leurs efforts d’aide aux plus démunis. Cette sensibilité nous permet d’être au contact de ces populations et participe à l’aprioris favorable que l’on peut trouver très souvent lorsque l’on est à l’étranger envers nous.

Nos peurs, nos freins font souvent que nous exploitons mal nos qualités, nous n’osons pas aller vers l’autre, mais lorsque nous allons au-delà de ces peurs alors nous éprouvons de grandes satisfactions à communiquer avec d’autres cultures, dans d’autres langues. Notre culture de la perfection nous limite, notre peur d’être ridicule, en parlant mal la langue par exemple, nous freine. Personne ne vous demande de parler l’espagnol de Cervantès, mais juste d’être capable de communiquer, de comprendre et de vous faire comprendre. A l’international il est très important d’avoir le sens de l’humour et d’être capable de rire de soi même, et non des autres comme nous aimons tant le faire. Comparez l’humour mexicain avec le notre…

sábado, 5 de enero de 2008

HAPPY NEW YEAR 2008!!!!!!!!

Thanks to all to come so numerous from everywhere on my blog. I wish you all a year 2008 full of trips and feelings. Return so numerous during this new year which begins you will find new articles and videos there. Don't hesitate to make me suggestions, to ask me questions, to make your contributions to enrich this blog. See you soon.

Gracias a todos por venir en este blog. Les deseo a todos un año 2008 lleno de viajes y emociones. Espero verlos de nuevo el año que empieza, encontraran nuevos articulos y videos. Por favor haganme propuestas, preguntas, escriban sus contribuciones para enriquecer este blog.
Nos vemos pronto.

Merci à tous de venir aussi nombreux et de partout sur la planète sur mon blog. Je vous souhaite à tous une année 2008 pleine de voyages et d'émotions. J'espère vous revoir aussi nombreux cette nouvelle année, vous y trouverez de nouveaux articles et vidéos. N'hésitez pas à déposer vos commentaires, faites moi des suggestions et enrichissez ce blog de vos expériences et contributions.
A bientôt.

Bienvenido a mi Blog intercultural

¿Haces parte de esa categoría de ejecutivos, profesionistas que viajan? ¿Tu cotidiano es de negociar, comunicar, de estar en contacto profesional con gente de otras culturas?, entonces este blog está hecho para ti. Encontraras articulos de fondo sobre el comportamiento corporativo de managers de otros paises, fichas por paises con tips de lo que hay que hacer y los errores que evitar, hasta consejos intercambiando por el medio de los comentarios, y mucho más... Este blog se quiere muy practico y util para el cotidiano del manager internacional. Buen viaje

Le Blog du Management Interculturel

Bienvenue sur le Blog du Management Interculturel. Ce Blog s'adresse à tout manager qui voyage profesionnellement, Vous y trouverez toutes les informations pratiquent pour mieux comprendre vos clients, partenaires, employés étrangers et savoir comment négocier, communiquer vous comportez avec eux. Bon voyage!!!