sábado, 22 de marzo de 2008

POURQUOI LES PAYS DITS ÉMERGENTS VONT NOUS MANGER?


Voiture chinoise de la marque KKC
Ces géants émergents : Ces nouvelles multinationales sont intelligentes, elles ont faim et elles en n’ont après vos clients. Ayez peur, ayez très peur.

Les nouveaux géants de pays émergents comme, l’Inde, la Russie, le Brésil, le Mexique biensûr la Chine, mais également l’Egypte et l’Afrique du sud ont mis pieds sur des secteurs d’activités aussi diversifiés que les équipements agricoles, le BTP, les réfrigérateurs, les ordinateurs, le domaine spatial ou aéronautique, ou encore les services informatiques, télécoms ou bien bancaires. Ces nouveaux géants sont entrain de changer les règles du jeu de la compétition mondiale.

Il n’y a pas encore si longtemps, il était inenvisageable d’imaginer une entreprise d’un de ces pays racheter une des entreprises d’un pays occidental. Aujourd’hui c’est chose faite et les exemples ne manquent pas. Un des plus marquant fut l’OPA de Mittal Steel Co, entreprise sidérurgique indienne rachetant le leader mondial Franco Belge du secteur, Arcelor. On peut citer également Lenovo group qui racheta le département ordinateur portable d’IBM. Les investissements de ces pays et entreprises se multiplient dans nos entreprises et nos pays.

Les entreprises indiennes d’informatique sont en train de révolutionner leur secteur, nous savons que dans les années qui viennent nous travaillerons tous sur des logiciels créés par les ingénieurs d’entreprises indiennes comme Infosys, Tata Consultancy Services ou encore Wipro.

L’entreprise d’Afrique du Sud, de Johannesburg, Sab Miller PLC est en train de remettre en cause le leadership de l’entreprise américaine Anheuser-Busch Cos sur son propre marché.

L’entreprise Brésilienne de construction aéronautique Embraer est passé l’année dernière numéro 3 mondiale devant l’entreprise canadienne Bombardier.

L’entreprise mexicaine de téléphones portables America movil sera dans les années qui viennent le leader mondial, elle possède aujourd’hui plus de 100 millions d’abonnées à ses services. Elle a été nommée par « Business Week » leader de son dernier classement mondial des entreprises de technologie de l’information.

Le prestigieux Boston Consulting Group (BCG) a récemment publié une étude basée sur des questionnaires réalisés auprès de 3000 entreprises venant de 12 pays émergents. Le BCG a identifié grâce à cette étude 100 géants émergents pouvant « radicalement transformer leurs industries et/ou marchés partout dans le monde ». Ces 100 entreprises combinaient entre elles 715 milliards de dollars américains de revenus en 2005et 145 milliards d’USD de bénéfices.

Quels sont leurs avantages compétitifs ?

Elles ont toutes un point commun, être sur des marchés dynamiques voir extrêmement dynamiques, pour ceux à petite croissance le PIB augmente aux alentours de 4% et à plus de 10% pour les plus rapides. De plus n’ont seulement ces marchés sont à croissance rapide mais souvent ils sont immenses, ils disposent des matières premières nécessaire, donc moins chères, tout comme leurs mains d’œuvres ouvrières ou d’ingénieurs. Mais ce qui est plus important que le coût de leurs mains d’œuvre qualifiée ou pas, c’est qu’ils sont très ambitieux et pensent en grand. Ils n’ont plus de complexes, ils sont créatifs et innovants, ils vont très, très vite, ils absorbent de façon différente et originale les consommateurs, les marques, les technologies et produisent de nouveaux produits beaucoup plus vite que n’importe quel concurrent occidental. Ce point est certainement leur force la plus grande sur laquelle il sera difficile de s’aligner pour une entreprise occidentale.
Par Olivier Soumah-Mis

miércoles, 20 de febrero de 2008

LA GESTION DU TEMPS Á LA MEXICAINE :


Expatriation/management interculturel

S’il est un paramètre culturel auquel il est, pour nous français, très difficile de s’adapter, c’est bien la gestion du temps à la mexicaine. Pourtant la flexibilité du temps mexicain peut avoir quelques avantages dans certaines situations.

Dès que l’on parle de données culturelles, il faut accepter la relativité des choses. En effet, si vous écoutez des scandinaves ou des allemands parler des français, ils vont nous décrire de la sorte : « Toujours en retard, pas sérieux car ils ne respectent jamais les délais, etc. » Pourquoi la relativité des choses ? Parceque c’est ce que nous pensons des italiens et à fortiori encore plus des mexicains.

Il existe deux approches culturelles du temps :

Le temps monochronique, est un temps rigide, précis, linéaire, tout est prévu à l’avance, c’est le monde de la planification. Dans ce monde, le temps à une valeur monétaire, on gagne ou l’on perd du temps, le temps c’est de l’argent. Les personnes dites monochroniques sont des personnes qui planifient leur journée précisément et qui vont réaliser leurs tâches une à une en respectant l’ordre dans lequel il est prévu de les faire. C’est le monde des anglo-saxons, des germaniques, des scandinaves.

Puis il y a le temps polychronique, qui est un temps élastique, cyclique. C’est un temps plus flou, moins précis. C’est le monde de l’adaptation aux changements, de la flexibilité de l’agenda, de la mobilité. Les personnes dites polychroniques, sont des personnes qui ont la capacité de gérer plusieurs activités à la fois, de s’adapter au moindre changement, de tâches, de rendez-vous, leur gestion d’agenda permet une plus grande souplesse. C’est le monde latin des pays d’Europe du sud et d’Amérique latine et en particulier des mexicains.

Lorsque vous vous dites que les mexicains ne sont pas sérieux car ils sont toujours en retard, vous les jugez à travers vos normes françaises qui ne sont plus valables ici au Mexique. Pour bien vivre votre expatriation il est important que vous compreniez plusieurs choses sur le temps mexicain :

Au Mexique le temps n’a aucune valeur monétaire, de plus, autre point important, pour les mexicains le temps n’est pas indexé sur le respect, ce qui est notre cas. Celui qui est en retard manque de respect. Ce n’est pas le cas ici. Entre eux les mexicains ne s’excusent pas d’être en retard et personne ne se formalise du retard des autres, sauf nous, car cela ne correspond pas à nos schémas culturels.

Les programmes et les rendez-vous passent après les relations. « La personne avec laquelle je suis actuellement est plus importante que ce que je dois faire ensuite, surtout si cette personne est un interlocuteur qui compte pour moi » Conséquence, le reste de la journée sur mon emploi du temps sera décalé. Ce qui compte le plus est le temps présent, demain est une autre histoire, donc la planification fonctionne mal au Mexique, les objectifs à trop long terme seront vite oubliés. Les mexicains pensent tout, selon l’impact immédiat, le retour rapide.

Etant donné que le relationnel est extrêmement fort au Mexique, plus vous serez important professionnellement voir amicalement aux yeux de votre partenaire mexicain, plus il respectera vôtre temps.

Il est très difficile de s’adapter à ce temps mexicain, très élastique, flexible, c’est un temps qui nous plonge dans l’incertitude car nous ne sommes jamais sûr que cela va se passer comme prévu, d’ailleurs cela ne se passe pas souvent comme prévu ! Mais une fois que l’on accepte cette grande différence, on peut se rendre compte que c’est un temps moins stressant que le nôtre car il permet plus de latitude entre deux rendez-vous ou dans la réalisation des tâches.

Comment travailler avec les mexicains? La motivation d'une équipe


Si votre équipe est majoritairement constituée de mexicains, certaines règles primordiales complèteront opportunément votre formation en management.
Par Olivier Soumah-Mis directeur des éditions de México DF et de Monterrey du Petit Journal.com, et spécialiste du management interculturel.

Les entreprises françaises implantées au Mexique connaissent beaucoup de problèmes, voire de conflits, liés au management. En effet, les expatriés fraîchement arrivés, presque toujours sans préparation spécifique, doivent manager des mexicains. Dans 90% des cas ils le font « à la française » ; c’est là que les problèmes commencent.

Il existe aussi un côté positif des choses…
Le point, peut être, où la différence entre nos deux pays est la plus grande, est le rapport au point de vue. En effet, certains clichés sur le français « négatif » sont vérifiés empiriquement. Le français considère que tout ce qui est bien fait (objectif atteint, bons résultats), est normal. Il est payé à cet effet. Inutile, donc, de s’y attarder. Les mexicains, eux, sont habitués à être encouragés, motivés à l’occasion de tout résultat positif. Le fameux « feed back positif » américain est ici une loi incontournable. En revanche, si quelque chose ne va pas (objectif non atteint), en France le chef fera entendre sa voix rapidement. Ici, ce comportement nous fait passer auprès des subordonnés mexicains pour des râleurs, jamais contents, qui ne savent que critiquer et voir ce qui ne va pas. S’ensuivent presque toujours démotivation, frustration, et l’impression que quelque soit les efforts fournis, ces derniers ne seront jamais suffisants au yeux du supérieur.

Attention à l’humiliation publique.
Un autre point important diffère d’un pays à l’autre : la punition, la réprimande. En France, nous sommes habitués dès l’enfance à l’humiliation publique. Cela commence par les parents (fessés devant d’autres personnes), puis la maîtresse (au moment de rendre les copies, elle ridiculise le cancre devant ses camarades), puis le directeur, qui « passera un savon », devant tous les membres de l’équipe, à celui qui n’atteint pas ses résultats. Ne dédaignez pas l’évocation de ces exemples, éloquents à de nombreux égards, des différences culturelles. Si vous observez bien votre environnement mexicain, vous verrez rarement des parents gronder leurs enfants ou hausser le ton en public. Notre propos n’est pas de juger le bien-fondé de l’une ou de l’autre, mais simplement de mettre en lumière le fait que l’éducation « à la mexicaine » n’a rien à voir avec la nôtre. D’où les précautions professionnelles qui en découlent. Pour réprimander l’un de vos subordonnés, il est capital de le faire seul à seul, enfermé dans votre bureau, jamais en public.
Il en va de même pour les récompenses. Il est préférable de motiver l’équipe et non l’individu, toujours dans le but de ne pas faire perdre la face aux autres, gardant en ligne de mire la cohésion de l’équipe. A l’inverse du management tel qu’on l’enseigne en France, il vaut mieux ici privilégier des objectifs que tous pourront atteindre, à des objectifs trop ambitieux qui risquent de casser les liens de l’équipe. Quitte à primer a posteriori les éléments « exceptionnels ».

Les mexicains sont les plus latins des latins ; nous sommes peut-être les moins latins. Il convient de mettre davantage de chaleur dans nos relations professionnelles. Le subordonné restera s’il se sent bien au sein de l’équipe ; si les relations sont trop froides et distantes, il partira, sans même que vous ayez flairé la démission.

martes, 22 de enero de 2008

LE MANAGEMENT A LA MEXICAINE:

Par Olivier Soumah-Mis Directeur de l’édition de México DF et de Monterrey du www.lepetitjournal.com, et spécialiste du management interculturel.

Nous allons commencer notre série intitulée « comment travailler avec les mexicains ? » par le management.

Bien que les mexicains subissent une influence très forte de leur voisin Etats-unien, le management de ce côté ci du Rio grande reste très imbibé par la culture locale, mexicaine.

Le management dans les entreprises mexicaines est souvent de type paternaliste, le chef, le patron est le bon père, il est à la fois craint et respecté. Sous des apparences souvent informelles et de proximité, le chef connaît bien ses subordonnés, le management est de type autoritaire. Il est très difficile pour un subordonné de contre dire ce que dit le chef, celui-ci à le pouvoir absolu il est donc dangereux pour sa carrière de ne pas être d’accord. La grande majorité des entreprises mexicaines sont familiales, même les grands groupes mexicains internationaux.

Par contre ce qui caractérise les relations au sein de l’équipe c’est la convivialité, malgré une importante hiérarchie, il a très peu de formalisme dans les relations. Les entreprises mexicaines ayant évoluées longtemps dans un environnement incertain sur tous les plans, politique, économique et financier, les entreprises mexicaines font preuves d’une très grande adaptation aux changements du marché ou aux changements internes. La flexibilité est l’autre caractéristique des entreprises mexicaines.

Là ou dans les pays anglo-saxons la base de la relation d’affaire est le respect de sa signature en bas du contrat, ici au Mexique la base de la relation d’affaire est la confiance personnelle que votre partenaire mexicain estime qu’il peut vous accorder. C’est pour cela qu’il faut savoir prendre son temps afin de connaître son partenaire. Savoir parler de tout et de rien et apprendre à se connaître personnellement est gagner du temps par la suite. Au Mexique on fait des affaires entre amis, et les amis de mes amis, sont mes amis. C’est pour cela que si vous avez le meilleur produit ou service du monde mais pas de relations, alors il vous sera très difficile de faire des affaires ici.

Ne considérer pas un comportement, de la part de votre partenaire, trop personnalisé comme une perte de temps, comprenez que vous êtes déjà dans le processus de négociation, le plus important est de maintenir la relation. Au Mexique il n’y a pas, comme en France, de cloison entre la vie privée et la vie professionnelle.

Avec ses subordonnés : il est important de prendre le temps de bien connaître ses subordonnés et leur environnement familial ainsi que de maintenir avec eux une relation de qualité d’un point de vue humain, tout en étant conscient que vous êtes l’autorité. Un point important, votre autorité ne vous donne pas le droit de réprimander un de vos subordonnés, qui aurait fait une faute, devant les autres membres de l’équipe. Cela est considéré comme de l’humiliation publique, très mal vécu par les mexicains.

Avec vos partenaires : la relation ira souvent au de là de la relation d’affaire, ne le prenez pas pour de la corruption, ça n’en est pas, c’est une des règles de base, la confiance.

sábado, 12 de enero de 2008

Who are the new expatriates?

Multinational companies are sending more and more employees abroad: in the interests of international development of course, but also to prepare their managers for positions of responsibility.
The effects of September 11th on international mobility were short-lived. The caution exercised by the big multinationals in the wave of extreme security-consciousness that followed has gradually eased and international missions are once again going ahead. The latest bi-annual review on the subject by ECA International, an organisation dedicated to expatriation professionals, confirms this. More than 70% of the companies questioned had “initiated more long-term postings abroad over the last two years and more than two thirds of them plan increases in the years to come,” according to the study. This boom can obviously be explained by the globalisation of business and by the increase in relocation. But if mobility is on the up, the forms it takes are changing. “With the opening up of the Chinese, Indian, Russian, Eastern Europe and South-east Asian markets, the big European and American companies have been encouraged to open a large number of sales offices, branches, subsidiaries and production units abroad,” says Frédéric Franchi, the organisation’s spokesman. It is a trend that is changing the nature of expatriation. “Ten years ago, companies cited skills and technical knowledge transfers as the main reason their employees were posted abroad. Today, on account of the new direction their development is taking, it is the need to control local operations that predominates,” explains Frédéric Franchi.Expatriation is no longer the preserve of western companies. Many Asian or Middle Eastern companies are also stepping onto the international stage. ECA’s study states, moreover, that “the boom in expatriation is mainly expected in Asia, which now rivals Europe and the United States as the main region to expatriate employees and also to receive expatriate employees”. It is no longer the preserve of western employees either. Most of the human resources Departments of the multinationals are now managing expatriates of different nationalities.“Companies have opened up so completely to the world that it is not rare for them to have expatriates of 20 to 25 different nationalities,” says Frédéric Franchi.
More women on the moveInternational mobility also involves an increasing number of women. Although women represented only 6% of expatriates in 1996, 20% of them now undertake missions abroad. Over and above increased general awareness of the need to give women a more important role in society, various factors may also explain this significant trend. Firstly, the opening up of expatriation to new business sectors. Although it traditionally concerned mainly industry, services are no longer left on the sidelines. And in addition, engineering schools, which provide a high proportion of expatriate staff, now also have a higher percentage of women. Lastly, expatriation is now considered in most of the big companies to be an indispensable stage in the development of a career. “More and more companies insist their executives experience expatriation,” says Frédéric Franchi. If they wish to offer certain women the chance to occupy posts of responsibility they must also be prepared to expatriate them.Be that as it may, curbs on the expatriation of women remain, mainly because of their role within the family. It is, moreover, partly to solve this problem that companies are increasingly developing “international commuting,” an attenuated form of expatriation. On the other hand, the ECA study also reveals the weaknesses of companies in the expatriation process. 75% of them do not assess non-technical criteria such as the ability to learn a foreign language, for example, in their recruitment process, and only 10% of them take account of the spouse. Yet as ECA reminds us, problems family problems figure amongst the principal factors mentioned when expatriation fails.

Les français à l’étranger (Part2)

Par Olivier Soumah-Mis

Pour faire suite à la première partie où je m’étais essayé de mettre en avant nos défauts par rapport à un contexte international, une expatriation, voici la deuxième partie ou nous verrons nos qualités.

Une grande qualité que nous avons et qui est très importante et utile à l’international, c’est notre fameux système « D », la débrouillardise nous permet de nous sortir de situations délicates, compliquées. De plus, notre sens pratique nous permet de nager en « eaux troubles », toute fois il est important de ne pas confondre rigueur avec rigidité, ce qui peut nous arriver certaines fois.

Un autre point fort est la qualité de nos relations. Il est certes très difficile de pénétrer ce cercle privé des français, cela prend beaucoup de temps en générale, mais lorsque la personne y parvient alors elle devient un ami, un membre de la famille. Si je compare avec nos amis mexicains, ils fonctionnent à l’inverse, au Mexique vous allez être intégré immédiatement et chaleureusement au sein de la famille, d’un groupe d’amis, mais peut être qu’à la longue vous vous apercevrez que la relation restera plus superficielle.

Ce qui peut séduire nos hôtes, c’est notre grand intérêt pour l’histoire et la culture du pays dans lequel nous sommes. Pas question d’aller à Cancun sans aller voir des sites archéologiques Mayas, de s’informer sur ces cultures avant d’y aller afin d’essayé de les comprendre et d’imaginer ce qu’elles étaient au temps de leur splendeur.

Le français, comme d’autres est paradoxale, nous sommes réputés pour notre arrogance mais dans le même temps nous serons très sensible à la détresse des personnes dans certaines situations, comme les catastrophes naturelles ou tout simplement face à la pauvreté, nous faisons toujours parti de ceux qui donnent le plus aux organisations non gouvernementales (ONG) pour les soutenir dans leurs efforts d’aide aux plus démunis. Cette sensibilité nous permet d’être au contact de ces populations et participe à l’aprioris favorable que l’on peut trouver très souvent lorsque l’on est à l’étranger envers nous.

Nos peurs, nos freins font souvent que nous exploitons mal nos qualités, nous n’osons pas aller vers l’autre, mais lorsque nous allons au-delà de ces peurs alors nous éprouvons de grandes satisfactions à communiquer avec d’autres cultures, dans d’autres langues. Notre culture de la perfection nous limite, notre peur d’être ridicule, en parlant mal la langue par exemple, nous freine. Personne ne vous demande de parler l’espagnol de Cervantès, mais juste d’être capable de communiquer, de comprendre et de vous faire comprendre. A l’international il est très important d’avoir le sens de l’humour et d’être capable de rire de soi même, et non des autres comme nous aimons tant le faire. Comparez l’humour mexicain avec le notre…

sábado, 5 de enero de 2008

HAPPY NEW YEAR 2008!!!!!!!!

Thanks to all to come so numerous from everywhere on my blog. I wish you all a year 2008 full of trips and feelings. Return so numerous during this new year which begins you will find new articles and videos there. Don't hesitate to make me suggestions, to ask me questions, to make your contributions to enrich this blog. See you soon.

Gracias a todos por venir en este blog. Les deseo a todos un año 2008 lleno de viajes y emociones. Espero verlos de nuevo el año que empieza, encontraran nuevos articulos y videos. Por favor haganme propuestas, preguntas, escriban sus contribuciones para enriquecer este blog.
Nos vemos pronto.

Merci à tous de venir aussi nombreux et de partout sur la planète sur mon blog. Je vous souhaite à tous une année 2008 pleine de voyages et d'émotions. J'espère vous revoir aussi nombreux cette nouvelle année, vous y trouverez de nouveaux articles et vidéos. N'hésitez pas à déposer vos commentaires, faites moi des suggestions et enrichissez ce blog de vos expériences et contributions.
A bientôt.

Bienvenido a mi Blog intercultural

¿Haces parte de esa categoría de ejecutivos, profesionistas que viajan? ¿Tu cotidiano es de negociar, comunicar, de estar en contacto profesional con gente de otras culturas?, entonces este blog está hecho para ti. Encontraras articulos de fondo sobre el comportamiento corporativo de managers de otros paises, fichas por paises con tips de lo que hay que hacer y los errores que evitar, hasta consejos intercambiando por el medio de los comentarios, y mucho más... Este blog se quiere muy practico y util para el cotidiano del manager internacional. Buen viaje

Le Blog du Management Interculturel

Bienvenue sur le Blog du Management Interculturel. Ce Blog s'adresse à tout manager qui voyage profesionnellement, Vous y trouverez toutes les informations pratiquent pour mieux comprendre vos clients, partenaires, employés étrangers et savoir comment négocier, communiquer vous comportez avec eux. Bon voyage!!!